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Votre sophrologue Yvelines

Je vous accompage vers le bien-être

Je suis Virginie Boll, Sophrologue certifiée, formée par l'EFDS (Ecole Française De Sophrothérapie).

Je tiens compte, dans ma pratique, du corps et de l'esprit dans une approche de thérapie brève psycho-comportementale.
Tournée vers plusieurs techniques de développement personnel et de bien-être dans mon quotidien ainsi qu'investie pour le bien-être d'autrui, j'ai voulu faire de la Sophrologie mon métier. J'aide de manière professionnelle les personnes qui en ressentent le besoin.
Aussi, c'est en toute bienveillance, dans l'empathie et le non jugement, que je vous accompagne sur le chemin de votre vie dans l'action et en douceur.

Et pour en savoir plus sur moi et pourquoi je suis sophrologue aujourd'hui, je vous invite à lire la suite...

Et qui sait ? Peut-être vous retrouverez-vous dans mon parcours de vie et aurez, à votre tour, envie de découvrir la sophrologie et d'en faire votre compagne quotidienne.

 

Mes Titres et diplômes

« La vie mettra des pierres sur ta route...

... à toi de décider d’en faire des murs ou des ponts »

 

Je suis l’architecte de ma vie, mais ça, je l’ai compris il n’y a pas si longtemps. J’en ai bâtis pourtant des murs de pierres sans me rendre compte que je m’enfermais un peu plus et que je construisais moi-même ma propre prison, mes propres impasses.

Pendant des années

A chaque épreuve de la vie, une pierre venait rehausser ces murs obstruant toute issue. Jedemeurais bloquée, coincée, emprisonnée de tous côtés, empêtrée dans des certitudes. Des années à penser ce que je croyais, à croire ce que je pensais. Je me suis condamnée moi-même, en attendant que les pierres cessent de tomber sur moi, à me plaindre de l’injustice, à me faire mal avec mes pierres.

Mon corps meurtri a longtemps appelé à l’aide : mal au dos, mal à la tête, mal aux jambes, à l’estomac, au ventre, burn-out, dépression… Et je ne l’ai pas écouté de la bonne manière, préoccupée par les pierres amoncelées, par cette muraille autour de moi, je n’entendais pas cette petite voix en moi qui se mettait à gronder.

Alors, au cours des années, j’ai fait avec. Avec les douleurs, la fatigue, la lassitude et je portais mes pierres et je bâtissais encore un peu plus de murs, toujours plus haut. Devenus infranchissables, il était devenu impossible pour moi de voir au-dessus, de voir derrière, de voir au travers.

Jusqu’au jour où une pierre est venue boucher, comme une enceinte autour de moi, le dernier espace de lumière.

Et c’est là, à ce moment, dans ce puits sombre, à bout de force et épuisée d’avoir fait de mes pierres des murs que j’ai pu voir, entre deux pierres, un interstice lumineux. Là, au fond de ce puits sans issue, j’ai pu penser autrement, croire à autre chose et voir le « possible ».

La reconstruction

Ce fut un long travail de déconstruction de ces murs, de ces croyances, de cette image de moi ; tout abattre demande de l’énergie, mais libère et l’espoir renaît, et les pensées plus positives génèrent l’énergie retrouvée et le corps remercie et la vie prend le dessus et le bâtisseur en moi se remet au travail.

Je décide avec mes pierres de construire un pont, un pont solide, pour aller voir de l’autre côté de moi, de l’autre côté de la rive, et mon pont enjambe, passe par-dessus, s’allonge.

Je décide de le traverser, j’ai un peu peur de découvrir ce qu’il y a de ce côté-ci, j’ai un peu peur de laisser ce que j’avais; même si ce n’étaient que des murs, finalement, ils avaient été bâtis pour servir de remparts.

Mais plus sûre de moi, connaissant l’objectif à atteindre, pensant et croyant à présent que « tout » est possible, que je suis capable et, décidant de devenir l’architecte bienveillante de ma vie; je traverse, sans oublier de prendre avec moi cette femme qui avait bâti ses murs. Ensemble nous traversons et pouvons admirer un « champ des possibles », nous pouvons voir le beau, nous pouvons voir le chemin parcouru et apercevoir celui qu’il reste à faire.

Je suis à la fois cette femme qui a fait de ses pierres un mur et cette femme qui fera maintenant de ses pierres des ponts.

Je sais, maintenant, que ce n’est pas seulement ce qu’il nous arrive qui nous affecte le plus, mais ce qu’on en fait.

Je sais, maintenant, que j’ai le choix.

Je sais que si je cherche la personne qui changera ma vie, je dois simplement la trouver en regardant dans un miroir.

Et tout cela je le sais seulement maintenant, grâce à un travail personnel, grâce également à la pratique de la méditation, de la sophrologie, de la pleine conscience du moment présent.

C’est pourquoi, mieux armée et outillée, plus confiante, j’ai décidé de traverser le pont que j’ai pu bâtir grâce à mes pierres. J’ai décidé de changer ma vie, j’ai décidé de ne plus subir les situations qui me faisaient du mal.

Le temps des décisions

J’ai quitté mon poste dans l’éducation nationale après plus de 20 ans à exercer dans des classes. J'ai enseigné auprès d'enfants d’âge élémentaire et maternel. Puis, je suis devenue directrice d’école, pour impulser au sein de la collectivité des valeurs pures, douces, bienveillantes et pour oeuvrer au plus près les familles, en travaillant avec elles main dans la main,  à faire grandir nos enfants dans un environnement qui répondrait à leurs besoins, de sécurité affective, de respect, de connaissances…

J’ai aimé mon métier pendant de longues années, jusqu’au jour où la vie m'a "offert" une dernière pierre qui aurait pu m'ensevelir complètement. Après quelques mois d'arrêt de travail, j’ai décidé, enfin, de me libérer.

Et c’est là que j’ai commencé à bâtir mon pont pour me laisser la possibilité de vivre autre chose, pour mettre toute ma bienveillance, mon empathie, mon désir d’aider, d’accompagner au profit de personnes qui en ont besoin.

C’est à ce moment-là que j’ai décidé de devenir sophrologue et de suivre une formation sérieuse, reconnue et diplômante qui m’apporterait les outils nécessaires pour accompagner au mieux et professionnellement les personnes dans leur démarche de changement et dans la réalisation de leur objectif.

Des perspectives

La sophrologie s’adressant à un public varié, les horizons de travail sont presque infinis ; à chaque personne rencontrée, je propose un accompagnement personnalisé en adéquation avec ses besoins.

Pratiquée individuellement ou en groupe, en entreprise, par le biais d’associations (de loisirs, de malades...) ou de structures diverses (écoles, structures de soins...), la sophrologie offre un panel large de méthodes et me permet de moduler mes accompagnements et mes interventions.

C’est dans des environnements riches de diversité que j’exerce ce métier de manière épanouie.

Je souhaite pratiquer et faire pratiquer la sophrologie afin que chacun puisse prendre conscience de ses ressources personnelles, de ses compétences propres, puisse prendre conscience qu’il a un rôle à jouer dans le changement qu’il souhaite voir s’opérer.

Etre dans la transmission, accompagner, construire avec et pour autrui, éveiller, voilà un métier de la relation d’aide qui me convient parfaitement et que j'ai plaisir à exercer.

Me remettre en question, découvrir, m’enrichir, continuer à me former pour faire évoluer ma pratique personnelle et professionnelle , tout cela me correspond aussi et le métier de sophrologue le permet et l’exige.

Oeuvrer à rendre les personnes plus conscientes d’elles-mêmes, leur apporter bien-être et leur permettre, par l’acquisition d’une boîte à outils, de devenir actrices de leur vie.

Le monde est rempli de personnes qui se sentent en dysharmonie, en déséquilibre. Souffrant mentalement et physiquement, enfermées dans un cercle vicieux de douleurs, de pensées négatives, leur vision de la réalité parfois déformée par la focalisation de leur esprit sur ce qui ne va pas, les empêche d'en sortir.

Je vois le sophrologue comme un médiateur, un facilitateur de rééquilibrage.

J’ai choisi cette voie pour amener les personnes qui en ont besoin à briser ce cercle vicieux, alimenté par des auto-conditionnements quotidiens et à changer leur mode de pensée pour faire de leur réalité une réalité objective.

Lorsque l’on comprend enfin que le conditionnement peut être effectué dans l’autre sens amenant à entrer dans un cercle vertueux, on a envie de le partager.

Je veux donner l’occasion à chacun, dans son parcours de vie, de faire de ses pierres des ponts, à son tour !